Curse of Syzka
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 « i try unsuccessfully to give everything. »

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2 participants
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Abaddon F. West
    qu'importe la
    victime si le geste
    est beau

Abaddon F. West


Messages : 10
Date d'inscription : 24/01/2009

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MessageSujet: « i try unsuccessfully to give everything. »   « i try unsuccessfully to give everything. » Icon_minitimeSam 24 Jan - 7:57

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Abaddon Faust West
22 ans


« i try unsuccessfully to give everything. » 2ef4vte
okay... right now, i will kick your ass, asshole.

abaddon's theme

«
All these blessings all these burns
I'm godless underneath your cover
Search for pleasure search for pain
In this world now I am undying
I unfurl my flag my nation helpless
»


______________________________
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    NOM. West. Court, rapide, compréhensible. Un nom qui lui va, en somme. Le nom de son père.
    PRENOM. Abaddon Faust Méphistophélès. Autant de prénom qui le rende un peu plus terrifiant. Pour faire court, le père d'Abaddon est un grand théologiste qui étudie la démonologie avec une certaine fougue, une passion qui l'aura, par ailleurs, consummait jusqu'à la fin. Ainsi, son seul fils a hérité de tous les grands fléaux que le monde est porté. Abaddon est un ange destructeur, celui qui sonne l'Apocalypse et répend l'un des sept fléaux. Faust est le tristement célèbre docteur qui se lia au Diable pour finalement perdre femme et enfant. Finalement, Méphistophélès est l'un des plus grands démons que l'Enfer porte. C'est un nom hasardeux, qui lui a souvent valu de mauvaises blagues plus jeune, et encore aujourd'hui, ses prénoms le mettent à l'écart de l'Amérique du Nord, bercer dans sa foi profonde et chaste.
    SURNOM. Aba', Fausto, the Jackal. Plus jeune, on se moquait en l'appelant Méphisto', mais depuis qu'il sait manier une batte de baseball, personne ne la ramène.

    AGE & DATE DE NAISSANCE. Il a 22 ans. Il est né le 6 Juin 2038.
    SEXE. Masculin.
    ORIENTATION SEXUELLE. C'est ce qu'il appele un "bi curious". Il n'a aucune gêne;

    METIER. Etudiant par correspondance en Lettres Françaises, il conjugue cette vie avec sa face bohème où il devient musicien d'une nuit.


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Dans mes veines,
un feu invisible...


« i try unsuccessfully to give everything. » Jacksonico12

abaddon's theme

«
I'm gonna fight 'em off
A seven nation army couldn't hold me back
They're gonna rip it off
Taking their time right behind my back
And I'm talkin' to myself at night
Because I can't forget
Back and forth through my mind
Behind a cigarette
»


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    DON.
    Abaddon possède le Don de la Faucheuse.

    Stade O1. Acquis.
    Abaddon enlève la vie selon des impultions. L'adrénaline dans son sang et la colère doivent être à leur paroxysme, et sa peau doit toucher celle de son adversaire pour que ce dernier se sente aspirer. Abaddon ne contrôle rien et il arrive que même sans être énerver, il arrive à tuer la personne. Cette dernière se sent alors se refroidir lentement et meurt lentement, dans d'atroces souffrances. Il ne faut que 2 minutes à la victime pour mourir.
    Stade O2. Acquis.
    Abaddon contrôle le flux de l'adversaire et peut le faire s'évanouir ou le tuer. Il faut que sa peau soit coller à celle de l'adversaire pour que les différents flux vitaux passent de l'un à l'autre. Abaddon, en même temps qu'il aspire le flux de l'adversaire, aspire une partie de sa mémoire et de son caractère.
    Stade O3. Non Acquis.
    Abaddon contrôle un peu mieux le flux de l'adversaire et peut le faire s'évanouir ou le tuer. Il peut prendre puis redonner le flux qu'il a prit. En même temps qu'il aspire le flux vital, il aspire une partie de sa mémoire et de ses pensées. Il est connecté à ce dernier pendant quelques secondes. Il aspire le caractère et connaît les peurs de l'adversaire.
    Stade O4. Non Acquis.
    Abaddon contrôle absolument le flux de son corps ainsi que celui de son adversaire. Il peut ainsi faire s'évanouir ou tuer son adversaire comme il peut donner de son flux à ce dernier afin d'avoir un contrôle de quelques minutes sur ce dernier. En aspirant le flux vital, il aspire la mémoire de l'adversaire ainsi que son caractère et connait les peurs les plus profondes de ce dernier. Il peut dès lors le faire s'évanouir et déclancher un cauchemard.
    Stade O5. Non Acquis.
    Dernier stade et ultime évolution. Abaddon contrôle à la perfection son flux et celui de l'adversaire. Il suffit qu'il touche une fois l'adversaire pour être relier par un fil de flux à ce dernier. Il peut ainsi faire s'évanouir ou tuer son adversaire comme il peut donner son flux à ce dernier et ce sans le toucher. Il peut prendre le contrôle du corps de l'adversaire pendant trois minutes au maximum. En aspirant le flux vital, il aspire la mémoire de l'adversaire ainsi que son caractère et connaît les peurs les plus profondes de ce dernier : il peut le faire s'évanouir et déclencher un cauchemard faisant apparaître la peur et même y participer. Il fait durer le cauchemard jusqu'à qu'il ne le veut plus.

    Soucis.
    Malgré tous les points positifs, il ne faut pas oublier que chaque manipulation du flux d'autrui ou du sien entraîne un déréglement de son corps. Une longue utilisation de son flux vital peut le faire s'évanouir ou même le tuer. L'absorption du caractère d'autrui agit sur lui durant quelques jours, et l'absoption de plusieurs caractères et mémoires peut même le faire totalement changer. Les mémoires d'autrui s'incorporent aux siennes et il possède alors du mal à différencier sa mémoire de celle des autres. Ses peurs se mêlent à celle de ses victimes. Il peut aussi ressentir une gêne aux niveaux de son corps et penser en posséder deux, et donc ne plus pouvoir bouger sous peine de tomber sur le sol et de ne même pas arriver à se relever.


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The End

« i try unsuccessfully to give everything. » Jacksonico6

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    célébrité sur l'avatar : Jackson Rathbone :3
    prénom & pseudo : Mélissa, aka le Sha.
    âge : 16 piges!
    que pensez vous du forum ? Baah... il a un beau design. What a Face
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Abaddon F. West
    qu'importe la
    victime si le geste
    est beau

Abaddon F. West


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MessageSujet: Re: « i try unsuccessfully to give everything. »   « i try unsuccessfully to give everything. » Icon_minitimeSam 31 Jan - 2:54

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The Short Story

« i try unsuccessfully to give everything. » Jacksonico10

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      Un Icare abîmé est l'histoire entièrement décrite d'Abaddon, dans les moindres détails. Cliquer sur le lien pour y accéder.


    C'est très jeune que Méphistophélès, seul héritier de la grande firme de pompes funèbres West, découvre qu'il maîtrise la glace. Dans ses colères les plus noires, ses poignets et ses chevilles se gèlent. Il apprend dès lors qu'une étrange malédiction pèse sur les habitants de Sheridan. Ses deux parents appartiennent à ceux que l'on appelle des « maudits », directement liés avec le déshonneur de la ville. Méphistophélès grandit ainsi, éloigné de la société, et fut envoyé à Chicago par ses parents, afin d'évoluer dans un univers moins mauvais, plus flexible, plus ouvert en somme. C'est durant les vacances de sa dix septième années qu'il rencontra Lucypher North, sa voisine qu'il n'avait sans doute jamais vu. Elle même descendait de deux parents maudits tenant une grande agence sur New York à la Bourse. Ce furent leurs parents respectifs qui les présentèrent, et aussitôt il y eut quelque chose d'étrange entre eux. Si Méphistophélès contrôlait la glace, Lucypher agissait aussitôt sur les fleurs et la nature, gérant aussi bien leur mort que leur naissance. Ensemble, ils s'installèrent dans le nord de Sheridan, et se promirent que jamais leurs enfants ne connaîtraient la douleur de l'exclusion, qu'ils vivraient comme eux, dans la réclusion la plus totale, afin de les protéger. C'est à l'âge de vingt ans que Lucypher eut son premier enfant. C'est ainsi que naquit Abaddon Faust Méphistophélès West, démon parmi les démons. Lucypher, cependant, n'arriva pas à gérer l'enfant et décida qu'un enfant « sans sentiments » serait le mieux pourvu pour affronter le « dehors ». Méphistophélès engagea alors trois maudits de basse naissance : Walter Allaway, un jeune professeur de lettre, promu majeur de son année ; Jarodd Norton, un cuisinier ayant pour don de maîtriser le fer, capable de défendre la maison en cas d'attaque ; et un héritier russe, Iason Polionov, capable de déplacer des tonnes de pierre et donc de défendre de même les éventuels agresseurs. Il fut décidé que ces trois hommes seraient le seul contact humain d'Abaddon afin de le durcir, de l'éduquer et de le rendre imperméable et viril. Lucypher repartit sur New York pour travailler, et Méphistophélès fit de même, créant une nouvelle agence dans la capitale commerciale. Pendant deux ans, Abaddon grandit sans revoir ses parents. Il ne les revu qu'à la grande occasion : la naissance de sa petite sœur, Anaël Hadia Lissa. L'ange parmi les anges?


    Seulement, Lucypher n'aurait jamais supporté d'être totalement séparé de sa fille, alors elle décida de lui faire une place dans sa vie. Jamais les deux parents ne pensèrent que leur fils aîné ai pu désirer les voir une seule fois. La première fois qu'il manifesta un besoin d'amour de la part de ses géniteurs fut lorsqu'il eut cinq ans, et ce fut la première fois qu'il rencontra Anaël, pour la fête de Noël. Les deux époux étaient très pieux, ainsi, la naissance de Jésus même serait le prétexte subliminal pour revenir à la maison. Noël devint rapidement une tradition incontournable pour les West : revenir à Sheridan devint un pèlerinage. Ainsi, Abaddon grandit entre les mains d'un Walter crispé, d'un Jarodd chaud comme la braise et d'un Iason calme et placide. Trois grands opposés. Abaddon tira de chacun d'eux une partie de son caractère même. Il prit l'intelligence entière de son instituteur et ses connaissances, l'humour et l'esprit ouvert de Jarodd et finalement, le calme et la patiente d'Iason. Des rares entrevus avec ses parents, il aima sa Mère, et il idolâtra son père. Tous deux représentaient l'ultime rêve, le paradis inaccessible duquel il avait été rejeté pour avoir pécher : il avait jalouser et désirer sa sœur, il avait voulu qu'elle disparaisse pour ne plus être que le premier. C'était un nouveau complexe : « Abel et Caïn, le renouveau ».

    C'est à l'âge de sept ans qu'Abaddon commença à ouvrir les yeux, un peu comme un nouveau adolescent. Il comprit, en quelques sortes, que ses peurs les plus profondes lui venaient de sa plus tendre enfance, et il commença à se poser les « bonnes questions », les questions qui lui éclaireraient sa futur voie : pourquoi Walter disparaissait dans sa chambre quand Méphistophélès était à la maison? Pourquoi Anaël avait le droit d'accompagner sa mère? Pourquoi n'avait il pas toujours été maudit? Il n'en su rien, mais cette angoisse qu'il ne serait jamais maudit, et pire encore, qu'il n'était pas aimé par ses parents, déclencha en lui tout un tas de trouble obsessionnel compulsif, comme des déclics automatiques, des réflexes inconscients. Il prit ainsi l'habitude d'écrire toujours et obligatoirement sa journée tout au long de cette dernière, et s'y ajouta plusieurs bémols. Boucler et déboucler ses lacets trois fois avant de pouvoir marcher, compter automatiquement les marches de l'escalier en montant, décompter les marches en descendant, compter le nombre de touches blanches du piano avant de pouvoir jouer, compter les touches noires après avoir jouer, organiser sa chambre selon un plan carré ou rectangulaire, tout se devant d'être aligner hormis les stylos. Bref, une vraie folie qui ne le dérangeait pas réellement. Avec l'aide de ses trois gardes du corps, Abaddon réussit à ravoir une vie plus ou moins normal, mais il garda une réelle obsession pour son journal intime et continua à le rédiger, donnant un « nom » à ces journaux une fois l'année passée.

    C'est à l'âge de dix ans qu'Abaddon commença à haïr ses parents, comprenant la différence entre eux et lui. Il prit de plus en plus de courage et de cran, restant cependant aussi froid que Iason. Durant sa quinzième année, Abaddon développa de vrais sentiments pour Walter et n'arriva jamais à les lui exprimer que par la musique et les mots, sur du papier. Ce sentiment si étrange, si difficile, lui était alors presque impossible de le formuler sur papier. C'était son « grand secret », en somme. L'amour qu'il portait pour Walter s'amplifia peu à peu, aussi longtemps que sa raison bornait ses désirs. Ce fut « sa première fois ». Walter baissa sa garde, et la raison endormit d'Abaddon laissa libre cours à ses désirs enfouis. Abaddon s'en souvient encore aujourd'hui, et ce fut sans doute le début de sa déchéance. Une romance qui n'est pas permise permet des choses horribles.

    Durant le Noël de sa seizième année, il ne vint que ses parents et sa sœur. Anaël avait encore grandi, était devenue plus jolie, et maîtrisait mieux la lumière. Elle était tout ce qu'il n'était pas : il n'était pas encore maudit, il n'était pas vraiment beau, et il n'avait pas grandi. Cette année là, Abaddon découvrit le fameux secret entre Walter et son père. Le pouvoir de Walter consistait a dégagé des gaz plus ou moins violents, sensuels ou tristes. Ainsi, Méphistophélès avait été imprégné de ces sécrétions étranges, et chaque nuit, il revenait, à l'assaut... Violent et sensuel à la fois. Et Walter n'avait jamais trouvé la force de le lui refuser. Abaddon éclata. Il était à la fois en colère, répugné, et finalement, déçu. Atrocement déçu. Il aurait voulu qu'on lui arrache le cœur.


    Le soir même de Noël, sa sœur lui dévoila l'atroce vérité. Abaddon n'était pas l'enfant rêvé que Lucypher, et Méphistophélès ne parlait plus de lui depuis qu'il avait sept ans. Il n'était plus « rien » que le fruit d'une fornication de deux adolescents, laissé sur le pavé. Ils n'étaient pas assez matures. Ils n'étaient même pas sûrs de s'aimer. Abaddon lui ordonna cinq fois de se taire, mais elle continua, lui avouant combien ses parents pouvaient le révulser, disant à leurs connaissances qu'ils n'avaient qu'un enfant, que c'était elle, et uniquement elle. Toujours elle. Il explosa et la secoua violemment, et durant ce laps de temps, il la tua. Il découvrit enfin sa malédiction. Elle tomba morte dans la neige, et pas une trace de sang sur son visage, pas même des strangulations, rien. Il la regarda, et durant quelques secondes, il ne su plus qui il était, plus où il était. Il ne savait plus rien. Les cris de sa mère le ramenèrent à la raison. Toutes les actions s'enchaînèrent rapidement. Méphistophélès lui envoya un pic de glace et il vacilla, son épaule lui fit mal, puis il vu des pierres et des éclats d'argent. Iason et Jarodd étaient venus à la rescousse, afin de le sauver. Son père lui jura sa mort, alors que sa femme avait prit sa fille dans ses bras et se balançait, d'avant en arrière, hurlant.

    Abaddon toucha le fond.

    Méphistophélès et Lucypher partirent, et il n'eut plus jamais de nouvelle, que des relevés de compte. Il demanda à Iason et Jarodd pourquoi, et les deux hommes lui sourirent, haussant les épaules, mais jamais ne répondirent. Ils rentrèrent et Abaddon n'expliqua même pas à Walter ce qui venait de se passer, mais seulement qu'il était sauf, qu'il n'aurait plus jamais rien à craindre de son père. Quelques mois plus tard, Walter mourait. Ce jour là, Abaddon ne pleura pas, mais il le fit durant toutes les nuits qui suivirent, seul. Il comprit alors qu'il fallait qu'il affronte la vie, le dehors. Qu'il découvre une nouvelle raison de vivre, puisqu'il avait presque tout perdu. Il ne lui restait plus que de l'argent, Iason, Jarodd, et des souvenirs. La même année, son père se suicida et sa femme le suivit.

    Il s'inscrivit au lycée, mais dès la première année, Abaddon eut du mal. Il portait le nom d'un démon, il n'était pas vraiment beau, il était froid et distant, et pire que tout, il était « trop » intelligent. Il arrêta l'école et s'inscrivit seulement au bac, en candidat libre, qu'il décrocha sans mal. Ce fut durant ses dix sept ans qu'il rencontra son premier « ami ». Wolfgang Chain, dit Wolf. Un garçon froid, aussi, un garçon absent. Il parlait alors avec un certain brun, Edward Clash. C'est Wolf qui lui parla le premier, le sommant presque de poursuivre son chemin et s'arrêter de le regarder comme ça. Que c'était pas lui le gay, mais son ami, à droite. Edward eut un rire ce jour là, et rétorqua qu'il ne connaissait pas Abaddon, mais que ça pourrait s'arranger, un soir. Abaddon ne bougea pas et resta muet, toujours à fixer Wolf. Par derrière, quelque chose le fit vacillé, et quand il se tourna, il fronça les sourcils. Une jeune fille avec une batte, la tenant fermement, le regarder, le regard noir. Elle lui demanda comment un riche comme lui pouvait se trouver là. Jolene Black. Il se souvint d'elle pour l'avoir déjà vu chez lui, une année. Son père était pompier, il faisait la tournée pour les calendriers, les étrennes. Il ne répondit pas et elle s'énerva peu à peu, le bousculant. Les deux autres garçons regardèrent sans un mot, ne bougeant pas. Puis finalement, son poignet droit s'enflamme et Abaddon eut un sourire.

    Ce fut sa première rencontre avec des « maudits », et pire encore, avec des « amis ». Même si Abaddon rentra chez lui ce jour là, il décida de dors et déjà, il sortirait tous les jours, pour découvrir le monde. Peu à peu, il se lia d'amitié avec Wolfgang Chain, aussi riche que lui, et avec Edward Clash et Jolene Black. C'est assez tard qu'il commença à apprécier Jeremiah, préférant d'avantage son jeune frère, Élie, le trouvant plus... dynamique? Afin de se divertir, il s'est inscrit en faculté de lettres françaises par correspondance et travaille. Il n'est pas dans le besoin, mais il s'ennuie, vous savez... A la maison, Jarodd et Iason l'attendent tous les soirs.

    Même si Abaddon vit avec le meurtre de sa sœur dans la mémoire, la perte de son premier amour impur, il essaye. Il cherche quelqu'un pour briser ce cœur, le réduire à néant. Il ne cherche pas un moyen de vivre, un but, mais bel et bien un précurseur pour sa mort.

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    Validéééééé ! Benvenuti ! <3
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